À toi, Antonin.
Toi que l’on a connu bébé, je me souviens encore vaguement du haut de mes 6 ans te baigner dans une bassine chez tes grands-parents sur la terrasse.
Je me souviens encore te voir grandir, avoir aimé la venue de ta petite sœur.
Je me souviens encore te dire bonjour quand on arrivait chez nos grands-parents respectifs.
Puis de ses moments où tu partais en vélo, en nous faisant signe quand nous étions à la fenêtre.
Tes « t’inquiète pas » quand on te criait « fait attention ».
Et puis l’appel de ma maman, alors que je travaillais, pour m’apprendre cette triste nouvelle, je ne réalisais pas tellement. J’ai surtout réalisé quand j’ai souhaité t’emmener de belles fleurs.
Se dire que 2 jours avant, nous te faisions signe comme souvent !
À présent, j’espère que tu parcours des kilomètres là-haut. Ne t’arrête jamais surtout. Toutes les personnes du quartier qui ont eu cette chance de te connaître ne t’oublieront jamais !
Merci Aurélie… C’est très gentil.