Mon ange, mon Antonin,
Les jours passent, les semaines passent, et toujours cette même douleur, ce même chagrin… Toujours à se demander si tout ça est bien réel, à se demander pourquoi ?
Pourquoi toi, pourquoi nous ?
Pourquoi je t’ai réveillé à 8:20 ce mercredi 25 juillet ?
Tu me l’avais demandé … Tu voulais aller t’entraîner comme tous ces derniers jours avec comme objectif cette manche de coupe de France et le championnat de France en Bretagne … Tu avais tellement progressé cette année … Tu avais tellement envie de bien faire … On était et on est toujours fier de toi !
Et si, et si ? Rien ne peut changer les choses … Apparemment c’est ça La Vie !Aussi difficile soit-elle …
Tu nous manques tellement … on essaie d’être forts, Fanny, papa et moi, ainsi que tous ceux qui t’aiment et t’aimeront toujours … Ce n’est pas facile, on s’accroche pour que de là où tu es, tu sois fier de nous, toujours avec nous, même si ce n’est pas évident … Nous espérons que l’on t’apporte du réconfort malgré tout et que tu perçois tout notre amour indéfectible … Le sport nous aide un peu, et nous rapproche un peu toi … Je pense que tu comprends très bien ce que l’ on peut ressentir …
Chaque journée accomplie est un nouveau pas pour nous, pour toi !
Car notre vie a pris un nouveau chemin, une montagne à gravir où les jours sont de nouvelles étapes … on espère tenir pour ta sœur et toi … Elle a tellement besoin de nous …
Toutes les minutes qui passent, tu es avec nous … Nous t’aimons si fort !
Ces quelques mots posés sur le papier permettent d’alléger quelque peu ce chagrin extrême …
#trainhard mon ange.
Pourquoi, et encore pourquoi…
Il ne passe pas une journée sans penser à toi notre Antonin.
Mon dieu quel courage !!! Comment faites-vous ? Pas le choix, rester debout coûte que coûte. On appelle ça les épreuves de la vie… Tu parles, on s’en passerait bien… Ça me rappelle mon combat quand Romain était condamné par un médecin (un gros c..) qui ne voulait pas perdre la face. Quand on entend que des parents se battent, ou perdent un enfant, on se dit, comment ils font ?
Heureusement le corps a des ressources insoupçonnées, une force que l’on imaginait même pas. Et puis il y a Fanny, tenir pour elle, tenir pour et avec votre couple. Tous les mots de la terre n’effaceront pas votre chagrin. Le seul réconfort, c’est qu’au quotidien, quand tout le monde est rentré, vous êtes tous les 3. C’est dur et en même temps, ça sera votre force. Une maman qui vous comprend.
Courage Cathy.
Gros bisous à vous 3.
À ce petit ange.
Une pensée aux papis et mamies, et toute la famille qui pense à vous.
Isabelle
La cousine
Merci Isabelle…
Bises affectueuses
Annick et moi, nous vous admirons, sachez que nous sommes nombreux à penser à vous, même si tout le monde ne s’exprime pas forcément, c’est tellement dur. Continuer à fond dans le sport, ce sera votre sauveur. Nous vous aimons. Restez comme vous êtes pour votre petite Fanny.
Bises
Merci beaucoup à tous les deux Serge, c’est très gentil.
Nous pensons très souvent à vous, à ce terrible mercredi où tout bascule en un rien de temps. La vie ne sera plus jamais la même… Les fêtes arrivant, nous pensons davantage à vous, au manque, à l’absence. Que vous dire….Nous n’avons pas les mots, ils n’existent pas. La peine est trop grande. Nous pensons à Fanny, nous sommes certains qu’elle vous apportera le bonheur que vous méritez. Courage ‘(
Merci Céline, nous pensons également à Rémi, et tous ses amis qu’il s’était fait sur le vélo… Nous insistons sur le fait que ce n’était pas des concurrents qu’Antonin côtoyait les week-ends sur les courses, mais des copains… Il était comme ça…